Une fois de plus, le festival Africa Fête vous donne Rendez-vous au Village.
Cette année, c’est au cœur du Couvent Jardin-Levat qu’il prend racines et qu’il répand son âme africaine. Du matin jusqu’au soir, c’est une journée entière qui est dédiée aux associations qui créent des ponts entre le continent africain et la France. Artisanat et création (bijoux, vêtements, accessoires,…), saveurs des îles (épices, jus, produits issus du commerce équitable,…), arts (littérature, photographie et exposition), causes humanitaires et économie solidaire (éducation, santé, culture,…) ; autant d’amoureux de l’Afrique qui travaillent chaque jour à la mettre en valeur.
Cette journée sera également l’occasion de se laisser aller à la découverte de nombreux artistes professionnels et amateurs toutes disciplines confondues : danses, percussions, chants afrocaribéens, cirque guinéen, mais aussi conte et lecture pour les plus petits.
Toujours plus soucieux de l’environnement et ouvert à son territoire, le Village d’Africa Fête.

18h – Vernissage atelier photos / Apéro concert (Scène jardin)

AMBIANCE – DJ IVOR (Ghana/London)

MASSILIA KA (Guadeloupe) Gwoka

20h – Concerts grande scène

Teresa de Jesus (Mrs/Cap Vert)
Diatsika Maloya feat. Banyan (La Réunion)

Décoration : PASCALE LAFAYE

Artiste pluridisciplinaire, avec une tête et plein de casquettes ! «Du papiersiouplait», reflète tout son travail du papier collé, découpé, superposé… pour fabriquer plein d’objets destinés aux enfants, petits et grands.
Avec son association «Bonne Arrivée», elle va au Bénin et initie des artisans au travail de transformation selon les techniques anciennes, avec des chutes de tissus. En parallèle, elle développe la création de décors pour certaines manifestations.
Cette année encore le Village d’Africa Fête sera aux couleurs de de l’Afrique grâce à ses créations spécialement conçues pour l’événement.
CONTACT : dupapiersiouplait@numericable.fr

Afro / Afro house / Funk /
Afrobeat / Soul / Hip-hop

Originaire du Ghana, Ivor Placca, directeur artistique d’Eclectica, a vécu à Londres plus de 30 ans ou il a été tour à tour leader de groupe, compositeur, DJ, promoteur et manager.
Après 10 dix ans au Sénégal, ce dernier, s’est installé à Marseille en 2016. Grâce à ses goûts éclectiques et à sa conception personnelle de la musique, il offre un mélange de musiques africaines et européennes à un public moderne.

Gwoka (Guadeloupe)

Le groupe Massilia Ka reprend des chants traditionnels des soirées populaires dîtes « lewoz » entièrement basées sur l’improvisation tant au niveau du chant, de la danse, que des percussions. Formation d’artistes métissée, tout comme la musique qu’elle transmet, Massilia Ka propose au public des spectacles et  des cours et des stages de danse.

Chanteuse d’originie capverdienne, Teresa Lopes Neves aka Teresa de Jesus a l’âme de Cesaria Evora dans ses chansons, la morna coladeira cap-verdienne, musique traditionnelle du Cap-Vert

www.facebook.com/Teresa-de-jesus
tenti mi convencer, compo teresa de Jesus

Diatsika Maloya un groupe qui vient des îles de la Réunion (Saint-Benoît et Saint-André). Ces jeunes se sont trouvés une passion commune : le Maloya qui est tout un mouvement culturel, héritage du passé et de la trajectoire unique des habitants de la Réunion. Du rassemblement du week-end, la passion les a poussé en 2007 à former un groupe pour poursuivre le plaisir de jouer. Ce groupe travaille tout autant à exporter sa musique qu’à valoriser les cultures et les traditions de leur univers auprès de tous.

Avec : Johnny Boyer – Lead / Nicolas Thiolica – Roulèr / Cedric Yeve – Sati / Daniel Alcimedon – Kayamb / Julien Alcimedon – Caisse claire / Jean-Louis Nirlo – Piker / Julianna Boyer – Choeurs, danse

www.hadriensantos.com

Banyan porte haut les racines et les chants du Maloya, cet univers musical puisant ses origines dans les traditions rituelles des premiers esclaves réunionnais. Autour des compositions des six musiciens et chanteurs – successivement chanteurs, percussionnistes ou choristes – s’élaborent de gracieuses complaintes et des hymnes lumineux.

Toujours métissé et ouvert sur les influences d’autres territoires comme Madagascar ou l’Afrique de l’Est, le maloya de Banyan s’écoute autant qu’il se vit et se danse.
Emportés par les percussions typiques et ardentes jouées au kayamb, au roulèr ou au tambour malbar, les chœurs s’élèvent, font résonner les harmonies et s’élever l’âme.
Hyperactifs à Marseille et engagés à faire découvrir la musique réunionnaise autour d’eux, le collectif organise de nombreux Kabar où ils perpétuent et réinventent ces célébrations emblématiques de l’île.

www.facebook.com/pg/banyan.maloya