Avec deux albums, et plus de 300 concerts en Europe et en Afrique, les premières parties de Tiken Jah Fakoly, d’Alpha Blondy (Côte d’Ivoire), Fantan Mojah (Jamaïque) ou encore Koko Dembélé (Mali), une nomination en France aux Victoires du Reggae 2017 pour le «Meilleur album reggae africain» et une au Burkina Faso aux Marleys d’Or 2017 pour le «Meilleur Spectacle», Jahkasa est un artiste engagé, tout droit venu du Burkina Faso, le pays des hommes intègres. Avec son balafon, le chanteur et musicien Jahkasa contribue à ouvrir de nouvelles perspectives au reggae africain. En véritable messager, Jahkasa souhaite redonner au griot sa place musicale lancer des alertes et sensibiliser le public citoyen.

Au cours d’un séjour à Bamako, le manager d’Amadou et Mariam est interpellé par des remixes de musique maliennes qu’il entend à la radio. En cherchant l’auteur de ces relectures électroniques, il découvre, dans une échoppe de la gare routière de Bamako, Moriké Keita aka Mo Dj. Depuis, Mo ne cesse de jouer de sa boîte à rythme et d’une double platine CD bardée d’effets, assurant les DJ sets des concerts parisiens d’Amadou et Mariam et enflammant les Transmusicales. Mo DJ est l’un des premiers à remixer la musique malienne ou africaine en général, avec les moyens du bord et la petite boîte à rythmes, qui à donné son nom à ce genre musical qui va révolutionner le dance floor occidental : « Le Djembeni » (littéralement : petit djembe)